C’est un chapitre qui me fait penser à la phrase de Annie ERnaux «  Dans la vie ce n’est pas ce qui arrive qui est important , mais c’est ce que l’on fait de ce qui arrive «  si l’on est prisonnier d’une addiction , l’important est bien de savoir pourquoi ? Comment transformer cette faiblesse en une nouvelle force en trouvant pour chaque personne et son histoire ´ les moyens qui seront pour elle les mieux adaptés.

c'est assez juste sans acter ce qui défini la dépendance a savoir la pulsion irréfléchie et irraisonnée

L'addidcition n 'est pas vu parcertains comme une maladie mais une faiblesse ou un trop pleins de catastrophes de la vie

ou pire une honte

Faire appel à de telles structures ne signifie pas qu’on est un déchet mais bien que le système juge et rejette certains problèmes. Beaucoup de belles personnes se perdent à un moment donné dans leurs vies et finissent par s’abîmer. Heureusement qu’il existe encore des vieil bâtisses non rénovées pour accueillir des professionnels qui travaillent avec passion et espoirs. Beau chapitre qui nous informe sur les structures existantes.

l'addiction est une maladie comme les autres

Choquée par le médecin qui dit qu’un tiers seulement va s’en sortir.

ce ne sont pas les medecins qui diront le contraire

Des informations intéressantes sur les prises en charge des addicts. Je suis d accord avec le docteur ce sont des personnes qui sont mal vues, rejetées comme si c'était leurs fautes. Alors que non ce sont des personnes qui ont pris un mauvais chemin à un moment donné et Ui ont besoin de soins comme tout autres malades.

que dire de plus