Nine C L’envers de leur nature 29 - Cassandra

29 - Cassandra

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28 commentaires

Ingrid Day

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Il y a 6 ans

J’ai un peu de temps ce matin alors je reprend ma lecture et waouh quel chapitre ! Ça m’a remis dans le bain de suite... J’en ai encore de frissons...

Nine C

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Il y a 6 ans

Ahahaha Je vais garder ça à l’esprit pour les prochains chapitres ;)

Amelia Pacifico

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Il y a 6 ans

Nooooon, pourquoi m'avoir arrêté ??? Si jeune, on est plus soumis à ses désirs qu'à sa réflexion ? Non ? *paupières qui papillonnent*

Nine C

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Il y a 6 ans

Je t’avais dit que tu risquerais de changer d’avis sur lui. Aussi con qu’affectueux ^^ Merci pour ce com, il me touche énormément !

Sandra MALMERA

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Il y a 6 ans

Chapitre bouleversant ! La mort de nath est à la fois héroïque et tragique. Essayer de sauver une personne qu’on voit finalement être torturer alors que nous mémé on est en plein agonie... et la pire des fin a mon sens. Mais cela n’enlève rien à la beauté de ton texte bien au contraire, on ne s’attaché que plus à cet ange, tout comme Cassandra :) je suis soufflée :) Nath nous réserve des surprises :)

Estelle Miccoli

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Il y a 6 ans

Très touchant ce chapitre... je commence à avoir plus d’empathie pour lui contrairement au début

Alexiane Thill

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Il y a 6 ans

Ton prologue est très bon. Il nous plonge dans une ambiance sous tension et donne l’impression que c’est une étape vers laquelle on sera dirigé au fil de notre lecture. C’est un point posé, que l’on guette avec anxiété en attendant la boucle qui doit être bouclée. Il est normal que l’on soit un peu perdu dès le départ : tu as créé un monde complexe que l’on doit prendre le temps de comprendre et s’y habituer. Le prologue est une mise en bouche. Tu as pris le parti de la première personne du singulier pour ta narration, ce qui a conduit à plusieurs points de vue : Nathanaël, Cassandra, Annaiel, Nicholaus. Je me suis demandée pourquoi partir sur cette idée ? A la troisième personne, pensais-tu ne pas pouvoir donner autant de profondeur que tu le souhaitais à tes protagonistes et leurs introspections ? Cela aurait pu éviter la multiplication des points de vue et peut-être une plus ample liberté d’alternance. C’est une question tout à fait poussée par la curiosité ; chacun a ses préférences en matière de narration. En fait, je me demande si ça n’aurait pas été plus simple de consacrer la première personne du singulier qu’à Nicholaus ? Je ne sais pas comment tu le perçois, peut-être accepteras-tu de m’éclairer !

Alexiane Thill

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Il y a 6 ans

En ce qui concerne ton intrigue, je pense qu’elle est loin du manichéisme ordinaire. A vrai dire, elle soulève bien des points sur notre perception, notre moralité, nos conceptions… Je crois que tu cherchais à travers elle apporter une très grande profondeur sur laquelle nous serions amenés à réfléchir. Et pour ça, tu t’appuies sur tes différents personnages. Cassandra, l’héroïne principal (je dirais), nous sert un peu de conscience et de voix. Elle fait écho à nos pensées, nos interrogations, notre nouvelle compréhension à mesure des révélations. Son prénom me semble approprié : Cassiel/Cassandre (mythologie) ; j’ignore si c’est quelque chose à laquelle tu as pensé sciemment, mais c’est intéressant. C’est une adolescente au bon mental, qui ne s’apitoie pas sur son sort ni sur le décès de sa mère et c’est appréciable. Les héroïnes pleurnichardes peuvent vite devenir lassantes : avec tout ce qui lui tombe dessus, on pourrait croire qu’elle en devient une – pas du tout, elle reste forte et, surtout, crédible. Elle n’accepte pas la situation non plus dès qu’on la lui explique. Au trente-quatrième chapitre, elle émet encore de nombreux doutes et essaie de raisonner. Elle apporte cette vision « humaine » qui équilibre celle qui vient des Anges qui sont, à bien des égards, tout en nuances de gris selon notre vision/perception.

Alexiane Thill

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Il y a 6 ans

C’est en outre pourquoi j’ai évoqué l’idée que Cassandra soit notre porte-parole en tant que lecteur, bien sûr, mais surtout en tant qu’être humain. Nathanaël est un héros que je n’ai pas affectionné au départ, mais je pense que c’était une intention de ta part : jouer avec l’antipathie et l’attachement. Cette « base » de ton personnage a permis de mieux appréhender son évolution et de repérer tous les changements qui se produisent en lui. J’émets néanmoins une petite remarque : de prime abord, lorsque Gabriel lui rend cette part « humaine », je me suis dit que c’était tout à fait logique qu’il y ait cette « explosion » chez Nathan. Il (re)vit ses émotions au centuple, tu le soulignes d’ailleurs dans un chapitre : ce que ressente les anges est plutôt ténu, un vague souvenir, une impression, rien de fort. Ce que les humains, eux, ressentent à pleine puissance. En soi, j’ai donc trouvé l’évolution de Nathanaël plutôt bonne – du moins, j’ai apprécié sa façon de gérer les choses au début… mais ensuite, j’ai remarqué une vitesse V qui m’a surprise. Son changement s’est opéré assez abruptement. J’aurais pensé qu’il mettrait bien plus de temps à jauger de ces sensations, à apprendre à les reconnaître ou canaliser même s’il les a déjà connus dans le fond.

Alexiane Thill

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Il y a 6 ans

Il change très vite d’attitude avec Cassandra, bien que tu essaies parfois de redresser la barre avec quelques chamailleries qui laisseraient sous-entendre que. Mais il reste un bon personnage qui est « l’entre-deux. » Celui qui a su, celui qui sait et celui qui saura. Un peu comme un Nephilim en fait… mais c’était en partie le but de sa manœuvre. Je pense que son rôle dans la suite n’est pas à négliger ; d’anti-héros, il se rapproche d’un héros tout court. Il le prouve déjà en sauvant Cassandra et en bafouant l’une des règles fondamentales du Paradis. Mais… sans doute ne sommes-nous pas au bout de nos surprises. (Et très bon background pour lui : la guerre à Constantinople, le massacre des familles, son sacrifice (bien que vain) a permis d’approfondir son identité pour mieux nous attacher à lui et le comprendre.)