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Quel climat ! Un commissaire qui répond à l'image faisant passer les notes de frais avant d'autres éléments vraisemblablement plus importants, pour lui (pression d'un service dont il a la gestion)… Mais bon ! sa position et son caractère sont encore là bien marqués. Tout cela avec un quotidien de vie qui porte la légèreté dans un souffle qui sent la poussière.

toujours accrochée, je poursuis ! personnellement la "longueur" des phrases ne me dérangent pas, au contraire, je retourne dans mes romans d'adolescente imposés par le cursus scolaire quand je vous lis. Franchement, chapeau, construire des phrases aussi complexes sur la durée, c'est un exercice difficile !

tagada tagada voilà la casse-pied (tu as liberé le kraken!) Je trouve peu judicieux de commencer un chapitre par "il faut dire que". ça fait visiblement référence au chapitre précédent mais je ne me rappelle déjà plus comment il finissait et ce démarrage est un peu brutal. ça donne l'impression de prendre une phrase en cours de route. Autre remarque, c'est un peu la fête aux répétitions. "[...]ont les clients subissaient les conséquences. Les clients et par voie de conséquence la société McAdam [...]" j'ai du relire pour m'assurer qu'il n'y avait pas une erreur de copié collé accidentel. Sinon, ça reste drôle et surprenant! j'ai un peu l'impression que le texte est hors sujet. je ne vois à ce stade ni "infiltré(e)" ni 'romance", plutôt "polar déjanté". alors c'est très bien les polars déjantés, mais je ne crois pas que ça corresponde au cahier des charges. ;-) Et quitte à être une éternelle pénible, pour le moment tes personnages féminins sont tous cantonnés dans des rôles de créatures sensuelles et idiotes. A l'inverse, les persos masculins sont tous caricaturaux, il n'y a aucun doute qu'on se retrouve dans un univers d'anti-héros. Mais dans la pop culture s'il y a des centaines de personnes masculins hauts en couleur, les femmes luttent encore pour incarner des rôles funs et intéressants, qui dépassent le "male gaze". ^__^