J'aime beaucoup quand tes personnages échangent. Comme je te l'ai déjà dit, c'est fluide et naturel grâce à ta plume. En revanche, tel que l'a relevé @Emma.Sara, fais gaffe à l'emploi de certains termes ou certaines familiarités qui donnent l'impression qu'Enzo les connaît depuis un bail. Calibre bien pour trouver un juste milieu entre maladresse et professionnalisme, et ça sera top ;)

La temporalité a déjà été réécrite donc ça ne passe plus en si peu de temps. Concernant l’immaturité des personnages, ils sont loins d’être parfait. Enzo n’est pas professionnel mais il n’a jamais été au pair.

Mais merci pour les points positifs relevés !

Merci pour vos retours ! J'ai en effet commencé à modifier la réécriture pour la mettre sur plusieurs jours pour mieux décrire le contexte.

Je pense qu'il y a un problème de temporalité, dans le sens : en seulement 24h, il songe à organiser un match de foot avec des pros (ça demande une certaine organisation !) et il a déjà décidé qu'Adelaïde sera là à " encourager " alors qu'il est justement là pour la libérer. Il est pas là pour lui donner des obligations supplémentaires ! Je trouve ça très maladroit de sa part et un manque de sérieux. Ca me semble un peu incohérent. Quant à la phrase " laisseront un vide immense dans ma vie ", je trouve ça assez déplacé en si peu de temps. Surtout après le mauvais coup qu'ils ont fait : à sa place, je me dirais plutôt : " vivement que je me barre loin de ces horribles gosses ! " x). C'est un peu renforcé par le fait que dans ton écriture, tu fais des répétitions de mêmes actions ^^. Les pompom de Rosie, on ne risque pas des oublier, je trouve que ça piétine un peu. A mes yeux - selon aux miens ! - ça serait plus agréable sur un temps plus long. Juste montrer que y a eu un espace pour justement s'habituer à cette nouvelle vie. Les mêmes actions, mais sur plusieurs jours (un jour l'épisode des devoirs, un autre la sortie au parc au foot, encore un autre le jeu sherif / cow boy avec le buritos. ). Comme ça, ça permet justement de créer un vrai lien avec les enfants. Je sens les tentatives d'humour, t'arrives bien à l'intégré grâce à Julien : on sent bien la complicité Enzo / Julien. Mais à l'inverse, avec Adelaïde, je trouve que c'est un peu à plat malgré leurs échanges. Tu veux créer l'ambiguité, mais il manque un petit peps, je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression que le feeling est pas là. Ils ont en commun les enfants. Si tu laissais plus de temps, ils pourraient parler de la 1er semaine au lieu d'une seule journée et créer une vraie complicité ^^.

Merci pour ton commentaire, je travaillerais sur ça à la réécriture.