Pioufff quelle horreur. Sacrée imagination, bravo. Et très bien amené. C'est bien que Cassandre montre un peu ses émotions à la fin de ce chapitre, on a un peu l'impression que rien ne le touche durant la lecture de la brochure.

C'est très bien que tu montres les doutes de Cassandre à la fin du chapitre (bon, ces doutes nous paraissent normaux à nous, les gens "normaux", mais vu ce que l'on apprend au fil de ton roman, plus grand chose ne semble normal, en fait). :-(