Caroline Ki Icarie Chapitre 1- La sécurité (P2)

Chapitre 1- La sécurité (P2)

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6 commentaires

Ma. Bertoli

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Il y a 7 mois

Ok, je confirme : j'aime beaucoup le ton de ton narrateur! Il est strict et dur, mais cohérent et réfléchi. On sent bien qu'il va se confronter à une autre réalité que ce à quoi il croit, et justement, le fait qu'il ne laisse pas la place au doute dans sa tête est un très bon moyen de s'assurer la portée émotionnelle de la révélation plus tard. Je pense par contre que tu devrais essayer de travailler la mise en page de tes chapitres, car entre les dialogues, les paragraphes donnent l'air de gros pavés. Donc peut-être aérer un peu en termes de mise en page pourrait rendre le tout moins compact. (même si, je le sais, il faut gérer le nombre de caractères! ^^') La devise de fin est glaçante et fais écho à des débats que l'on entend souvent. À la fin de ce chapitre, j'ai envie d'en savoir plus. (je me dirige donc vers la suite! :) )

Caroline Ki

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Il y a 7 mois

Il faudra que je revois ça pour les chapitres ! Merci de tes conseils ! Et encore merci d’aimer Eyden 🥰🥰

Alice Jouany

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Il y a 7 mois

« La sécurité avant la liberté », ça fait malheureusement beaucoup trop écho au monde actuel !

Caroline Ki

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Il y a 7 mois

Je t’avoue que cette phrase m’est justement venu en réfléchissant à notre société. Parfois on est prêt.e à renoncer à la liberté pour vivre en sécurité et en paix :/

Cécilia Perrot Gilbert

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Il y a 7 mois

Il est dur dans ses paroles quand même. Oui j'ai eu beaucoup d'empathie pour la mère, la faute sans doute au fait que je suis moi-même maman je suppose. En tout cas, je ne sais pas si je serais capable d'abandonner mes enfants pour les sauver, peut-être que oui, peut-être que non... Aucune idée en fait ! Je retrouve ta tendance à te répéter par contre 😁

Caroline Ki

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Il y a 7 mois

Non seulement il est dur, mais surtout en manque d’empathie pour la mère, oui. Il est dans son idée de « sauver l’enfant », et du coup, il ne se met pas du cote de la maman (et comme toi, j’abandonnerai pas mes enfants 🥺 si j’en avais).