Tu évoques dans ce chapitre les difficultés d'Ivy, je ne sais pas encore où tu veux nous mener avec ça, jusqu'où tu vas aller. J'ai trouvé le déclencheur un peu soudain, même si on comprend qu'elle se l'autorise (façon de parler hein) une fois qu'elle est sûre d'être à l'abri en contrecoup du stress. Il faudra creuser je pense le mécanisme de la vague de haine qui surgit d'un coup. Sinon, Levon est égal à lui-même pourrait-on dire, Colin aussi. Je trouve juste la fin un peu surprenante car jusqu'ici elle semblait plutôt comprendre (à défaut de connaître) les réticences de Levon, et finalement elle le voit comme un égoïste antipathique, je ne trouve pas ça complètement cohérent avec ce qu'elle pense au chapitre précédent.

C’était lié à ses pensées précédentes, à sa prise de conscience. Levon lui a foutu un vent ^^’ Je pense que ça peut être compréhensible qu’elle soit énervée x) Mais je prends note de tes remarques pour exploiter ces pistes :)

Oui elle peut complètement être énervée, mais dans ce cas, je n'aurais pas parlé d'égoïsme, je l'aurais juste mentalement traité de connard ou un truc du genre. Mais je te rassure ça passe de toute façon, c'est surtout une question de sensibilité.

La crise de panique d'Ivy rend son histoire plus réaliste, elle est importante. Je l'ai trouvée un poil trop rapide par contre, Ivy se remet presque direct quand Levon vient demander où elle en est. Peut-être insister plus sur combien ça lui coûte de revenir sur terre et de se relever ?

Merci pour ton retour, j'en prends bonne note pour ajouter des détails ^^

Je trouve que tu as bien retranscrit le malaise d'Ivy. On sent aussi que son frère se doute de quelque chose, peut-être qu'il n'ose pas lui en parler. En revanche j'ai toujours un petit peu de mal avec le côté ultra fermé de Levon, le fait qu'il ne réponde même pas à la question d'Ivy, je trouve que ça casse un peu le réalisme. Il peut lui répondre abruptement et de façon minimale.

Merci beaucoup ! Je prends note pour Levon :)

Une scène un peu difficile quand même. J’aurais peut-être aimé un peu plus de pathos au niveau de ses pensées pour vraiment rentrer dans sa tête au moment de sa crise. Sinon c’est bien amené et le fait que son frère ne se doute de rien est haletant.

Merci pour ton retour, je le prends en compte :)

J'ai si mal au cœur pour elle. Tu as incroyablement bien décrit ses pensées, son envie incontrôlable de se faire du mal, et ses pensées qui l'accablent. J'espère qu'elle ira vite mieux !