La narratrice est donc conscience de son problème ( je me dis depuis le chapitre 1, qu'elle aurait bien besoin d'un bon psy ! ), elle sait même comment y remédier, mais elle préfère se voiler la face. Village People ? Ce sont des gays, ils devraient se douter que tout est faux et que sa vie sexuelle est aussi fourni qu'un train de la SNCF est à l'heure pendant une grève nationale. Ah ça y est, je sais enfin son nom de famille – toujours pas son prénom : Marie. ( Suggestion : tu devrais faire un ajout plus tôt dans l'histoire, dès le chapitre 1 si tu peux, car depuis le début, je l'appelle " narratrice " car je n'avais aucune idée de son nom. Même pendant sa soirée entre copines, il n'est pas évoqué ! ). Curieuse du dérouler de cette soirée, qui promet de changer ses profondes convictions, je le sens.