Ana ïs Et si c'était lui Faux sans blanc

Faux sans blanc

Lucy s'active se matin, elle veut arrivée avant sa supérieur au bureau. Elle veut mettre tout en place pour la présentation du modèle qu'elle à dessiner pour la robe de marier de sa cliente. Pour sa présentation elle choisie de mettre un chemisier rose pâle, ainsi qu'une jupe patineuse noire. Elle chausse de jolie bottine en cuir noir, ses yeux sont maquillés d'un smooky parfait ré haussé par un mascara qui agrandi son regard. Elle enfile un long manteau noir, attrape son sac à main de cuir noir, fait une caresse sur la tête de son tête de son matou avant de quitter son appartement. Sans plus attendre elle saute dans la voiture qui l'attend en bas de son immeuble, elle est soulagée de voir son chauffeur habituel de nouveau derrière le volant, elle sait qu'elle peut se plongé dans l'actualité, et plus précisément celui du monde de la mode. Elle doit être au courant de toute les nouveautés, pour ne pas faire d'erreur sur les demandes des clients. Pendant vingt minutes le temps de son trajet elle va lire toute la presse nationale et internationale sur la mode, les mannequins qui se font une place dans le milieux, les nouveaux créateurs les motifs, les tissus ou encore les couleurs de la saison. Lorsque la berline bleue nuit se gare devant le grand immeuble aux murs de pierres blanches, le bâtiment mêle moderne et ancien à la perfection les baies vitrées qui illuminent l'intérieur du bâtiment sont invisibles de l'extérieur. Lucy remercie sont chauffeur avec un grand sourire, le seule sourire réellement sincère qu'elle va afficher sur son visage de poupée de toute la journée. après avoir récupérée son sac à main ainsi que son petit ordinateur et ses magazines elle se dirige d'une démarche assurée vers l'entrée du majestueux bâtiment qui s'élance vers le ciel blanc de cette matinée glaciale. Elle salut le personnel se trouvant à l'accueil, tous lui répondent d'un inclinemant de la tête accompagner d'un sourire polie. Lucy monte de justesse dans l’ascenseur plein à craquer, elle se faufiler entre deux hommes de carrures fortes imposantes. Elle monte au dernière étage de l'immeuble, c'est à dire au quarante-huitième étage. De la haut elle à une vu imprenable sur la ville, c'est en générale de cette vue qu'elle tire son inspiration pour ses croquis. Aujourd'hui elle ne voie pas passer le voyage en ascenseur comparativement aux autres jours ou cet endroit et pour elle un lieu de torture elle à horreur de ce lieux où tout le monde se retrouve les uns sur les autres. Lorsqu'elle enfin son bureau elle constate qu'elle est la première arrivé même Maëva sa patronne n'est pas encore là. Elle commence par poser ses affaire sur son bureau et allumer son ordinateur pour faire un premier petit check dans ses mails, avant d'aller préparer la salle de réunion pour la présentation de son croquis, de tout son travail depuis plusieurs mois à sa cliente ainsi qu'à Maëva.

Neuf heure, voilà c'est le moment de se lancer dans la cours des lions pour Lucy, a voilà partie pour environ trois longues heures de présentation.


Il est tout juste neuf heure lorsque Jules ouvre enfin les yeux, le ciel gris l'incite à rester sous sa couette mais Gryspi et Mico son bouledogue français et son chat du bengal qui se chamaille en plus du véritable bazar qui règne dans son appartement l'obligent à se levé. C'est un peu branle-branlant qu'il se met sur ses deux jambes. Gryspi qui peut enfin s'étendre de tout son long sur lit profite de la place lire et chaude que son maître vient a peine de quitter. Mais c'est sans compter sur l'envie irrésistible de jouer de Mico, le jeune chat ne peut s'empêcher de se jeter sur son compagnon de jeu favori. Jules se fait couler un café bien serrer pour commencer sa journée qui s'annonce bien charger. Appuyer contre l'un des meuble près de la cafetière qui commence son travail, lui fait le tour de la pièce du regard. Cartons, sacs, papiers et autres objets sont éparpillés un peu partout sur le sol. Il sait qu'avant même de commencer à défaire les cartons il va devoir nettoyer les restes de la fête qu'il à organiser hier soir pour son emménagement, ainsi que faire du trie dans toutes les affaires qu'il à ramener de chez parents, de son ancien studio t de tous les autres endroits ou il pouvais squatter lorsqu'il était en tourner. Mais avant tout pour se motiver mais surtout pour se réveiller il boit son café, tout en l'avalant il ne peut s’empêcher de repenser à la scène qui à tant fait rire ses amis, mais qui lui là intriguer. La visite de Lucy n'arrête pas de revenir en boucle dans sa tête, il se secoue un grand coup la tête pour se sortir la jeune femme de la tête et se mettre au travail. En une heure et demi il rempli six grands sacs poubelles, une fois ces derniers descendus aux conteneurs il commence à vider les cartons et à enfin aménager l'appartement. Vers seize heure, il finit de vider tous ces cartons, mais voilà Jules à comme l'impression qu'il manque quelque chose à son appartement, il décide donc de prendre ses clefs et d'aller faire un tour en ville pour faire des achats. Pour cette découverte de la ville il préfère laisser au calme et au chaud son fidèle compagnon. C'est donc en laissant Gripsi sur le tapis de l'entrée que Jules quitte son appartement pour rejoindre les garages ou se trouve sa voiture. Une fois dans sa féroce mécanique il allume la musique et se dirige vers le centre commercial.


Après avoir ravie sa cliente ainsi que Maëva par la présentation de son modèle de robe de mariée Lucy c'est penchée tout l'après midi sur la création du décors pour le défiler qui aura lieu lors de la soiré de noël de la maison de couture pour laquelle elle travaille. Ce n'est pas son premier défiler mais cette année le thème que Maëva à choisi pour cette évènement est l'enfance. Un thème qui n'inspire pas vraiment la jeune dessinatrice, plongée dans ses magazines, livres et autres sources de documentations Lucy ne vois pas l'heure passer à tel point que c'est son chauffeur qui est obligé de venir la chercher à son bureau pour lui rappelé qu'elle à d'autres obligations ce soir. Gêner par son oublie, les joue de Lucy rosisse, se qui fait naître un léger sourire discret mais charmant sur les lèvres de Pablo son chauffeur. Elle attrape en vitesse ses affaires, et enfile son manteau dans l'ascensseur, pendant la route qui la mène à l'autre de la ville elle rédige sur un bout de papier une liste qu'elle remet à Pablo. La berline se gare devant un immense centre commerciale, elle est mal garée mais il semblerait que Pablo s'en moque il descend pour aller ouvrir la porte à sa passagère. Lucy saisit la main tendu par Pablo pour descendre de la voiture, elle le remercie par un grand sourire chaleureux. Pablo s'incline puis va reprendre sa place derrière le volant pour aller se garer sur une place un peu plus loin. Lucy s'engouffre dans le bâtiment avaler par la foule.


Jules à du mal à croire à la scène qui vient de se dérouler sous ses yeux, cette femme était-ce Lucy?

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3 commentaires

EvaPires

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Il y a 7 ans

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Ana ïs

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Il y a 7 ans

Merci, je prend note de ton conseil.

Valerie27( valeriejchesnay)

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Il y a 7 ans

Hello, je trouve ton pitch sympa! Tu as des jolies tournures de phrases. N'hésite pas a aérer ton texte. En bloc, c'est un peu plus difficile à lire. J'aime bien cette animosité entre eux! Ça promet!
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