Ce chapitre est parfait. On coche de plus en plus de cases pour le pervers narcissique pathologique. On est dans les extrêmes de ce qui est acceptable (côté physique : le pardon à genoux est une image forte, il la fait tomber "sans faire exprès" - côté morale : passer de l'attitude de l'extrême connard à la mention des fleurs et du cadeau...) le "Have you ever felt like you were beaten, but they left no bruises" de Not All Men me revient en tête du coup. On savait dès l'ouverture du chapitre comment ça allait se passer et tu as répondu à ta promesse. Mais il y a tout de même des surprises (je savais qu'elle s'excuserait, c'est normal, mais le fait qu'elle se défende m'a particulièrement plu). Pour le côté de la narration, pourquoi pas approfondir encore plus l'impacte de ce chapitre particulier en raccourcissant tes phrases ? Elles sont toutes très longues pour les descriptions alors que je dirai que l'action a tendance à pulser dès que les personnages prennent la parole ou agissent. J'irai davantage dans la boucle "action-réaction-réflexion - décision" que préconise je ne sais plus quel auteur (on peut en parler en mp si ça t'intéresse) avec des enchainement vifs de phrases courtes.