Nast Prisonniers du blizzard Chapitre 9.1

Chapitre 9.1

Tu as aimé ce chapitre ?

24

24 commentaires

cedemro

-

Il y a 2 ans

Je trouve un peu trop osée leur tentative de fuite dans ce contexte. Il est évident qu'ils n'ont aucune chance contre un homme qui connaît les lieux et qui a entendu le bruit de la fenêtre brisée... Une fuite silencieuse serait plus plausible dans ce contexte. Quelque chose du genre elle lui "emprunte" sa clef et ils fuient dans le silence le plus total, leur donnant au moins un certain temps avant que Steve réalise leur départ. Je crains que le prochain chapitre soit un peu plus sombre. J'ai la fameuse scène de Misery en tête avec la masse et la cheville du pauvre captif dont j'ai oublié le nom...

Mary Cerize

-

Il y a 2 ans

Entraînant et captivant ce chapitre c'est subtile et bien écrit 👍🏼

Nast

-

Il y a 2 ans

Merci!!

Loandbooks

-

Il y a 2 ans

Je suis à jour ! :)

Nast

-

Il y a 2 ans

Merci beaucoup ! :)

Gwenygwen

-

Il y a 2 ans

Coup de pouce ♥

Sand Canavaggia

-

Il y a 2 ans

Houlàlà…je vais m’en vouloir, d’ailleurs je m’en veux déjà, quand de ton passage aide su mon texte, j’étais trop étouffée par ma pal, mon écriture, la vie et je ne pouvais que check certains de tes chapitres pour t’aider, sans vraiment lire et puis, t’ayant noté dans un coin de ma tête et voyant que certains de ma pal ne publie plus je suis venue te lire, je n’ai pas commenter à chaque chapitre, mais tous ceux que je prends en cours de concours je synthétise mon avis, su X chaps, c’est selon moi le moyen de profiter pleinement d’une lecture linéaire. Ton écriture, rien à dire, vraiment j’en adore les tournures, la qualité. Pour ce qui est de l’histoire, ton résumé a smatché de suite, je ne sais si c’est parce que j’ai un frangin au Canada, si c’est parce que ce week-end avec lui on parlait de l’été indien ou de son trip au parc Veyrendrie…va savoir.

Sand Canavaggia

-

Il y a 2 ans

J’ai vu au première page le fond se poser avec délicatesse et émotions, ce relationnel bercé du soucis de ses proches et son envie battante comme un feu de vivre de l’authentique rude de sa région, me touchait beaucoup dans ce côté vagabond qui m’habite, tout cela pour te dire que chaque ligne ont été ressenties avec puissance. Sa rencontre avec Nolan comme une évidence, avec des touches d’humour et de complicité, puis le véhicule qui les prend, l’ambiance, c’était beau et ça glissait tout seul en lecture. Dès le 6e chapitres tu nous plonges dans l’ambiance froide mais chaude de leur présence. Le bâtiment est là et j’ai souffert avec eux du trajet restant. Réunis par Bob l’éponge et tu as continué à me voler un sourire.

Sand Canavaggia

-

Il y a 2 ans

J’aime ce huis clos, c’est une idée tellement géniale où tu as su développer leur sensibilité, ces petits gestes simples qui en disent beaucoup. Le premier sommeil, cette présence inconnue et déjà ce lien pur entre eux, tu m’as envoûtée. Le souvenir de sa grand-mère, son vécu, place le mental de Maya, j’en été troublée. Et lui le chapitre d’après sa blessure, son doute insufflé par les autres sur son esprit, c’est ce qu’on appelle envoyer en boulet de canon le plus gros shoot émotionnel au lecteur. Au chap 12 le contact, un homme bourru, mais qui ne souhaite pas les voir mourir, une intrigue un piment corsant l’histoire et resserrant leur lien naissant. Au chap14, une découverte, un homme plutôt simple, pas méchant probablement plus effrayé qu’eux, mais plus vieux donc plus fort et protecteur de ce lieu, chez lui.

Sand Canavaggia

-

Il y a 2 ans

Dans un stress ils se révèlent, Nolan sa protection et Maya son courage. Le coup du repas à la française un si joli clin d’œil a cette double culture du Québec, j’ai vraiment eu un sourire et en même temps le relief avec Nolan livide et souffrant de sa blessure. Tu attaches chaque petit fil que tu libères et c’est tout simplement parfait. Au chapitre 18 tu fais naître une autre forme de sentiment, c’est renversant d’une réalité qui ne se voit que très rarement, l’attachement d’un amour sans superficiel d’un baiser ou autre, une tendresse infinie que traduit à merveille sous ma lecture, les images caracolent et c’est si beau.