Fyctia
Chapitre 20 (Nathan)
OMG merci, merci, merci, coup de cœur Fyctia ce n'est pas rien. Un grand merci à toutes les personnes qui me suivent depuis le début, et merci à toutes celles qui arrivent.
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J'ai passé une journée de merde. Une vrai cata. J'en suis toujours à me demander si j'ai tout imaginé. Ou si être en Charlotte, était bien la chose la plus bandante qu'il ne me sois jamais arrivé. Je me demande si je n'ai pas tout simplement idéalisé ce moment. Mon pantalon commence à devenir trop serré rien que de penser à ce souvenir.
Merde ! Je me rappel la sensation d'être bien enfouie au plus profond d'elle. Rare sont les filles qui peuvent tout accueillir de mon anatomie. Et si c'est le cas, je ne veux pas dire, mais je flotte littéralement dedans. Avec Charlotte tout était différent. Elle est à la fois profonde et étroite. C'est comme si son vagin avait été tailler sur mesure pour ma bite. J'ai bien faillie tout envoyer à l'instant où je suis entré en elle.
Je n'ai vraiment, mais alors vraiment pas aimé ce constat. Ce matin je me suis réveille avec une trique de malade. Il n'était absolument pas prévu que les choses ce passent ainsi. Et elle qui exhibait son cul juste sous mon nez dès le petit déjeuner. J'ai pété un câble. Il fallait que je remette les choses à leurs places. C'est moi qui contrôle la situation. Je lui est bienfait comprendre. Elle était dans tous ses états. Je me suis bien marré de la mettre mal à l'aise devant sa mère. Mais comme à son habitude mon père est venu tout gâcher, vivement que je me casse de chez lui, je ne peux plus le supporter. Il y'a bien longtemps que je ne peux plus le sentir, cela fait même bien longtemps qu'il à perdu le privilège que je le considère comme mon père.
Arrivé au boulot rebelote, mon chef m'a refilé le projet d'une collègue, cette conne est enceinte et à eu des malaises, du coup elle prend son congé mat bien avant l'heure. Et qui récupère le bébé ? Bien sûr je suis le meilleur webdesigner de la boite, donc logique, mais quand je vois que cette gourde n'avait absolument rien fait et qu'il avait fallu que je fasse deux heures de rab pour ne pas être couler j'avais les boules.
Et je ne parle même pas de la répète de cette après-midi, où Ninon notre batteuse avait encore fait des siennes pour inclure sa musique Emo à notre répertoire. Il en était hors de question. On avait un large public d’habitués, et ils voulaient tous nous entendre chanter le même genre de musique. Du bon rock français.
J'avais manger un morceau avec Max avant le concert de ce soir. Et comme à son habitude il m'avait demandé si j'avais fait des progrès dans son « si génialissime plan ». Qu'il aille se faire foutre, je n'ai qu'une idée en tête, être demain soir et me perdre dans la chatte de Charlotte.
Qu'est-ce que je raconte comme connerie ? Il fallait que je me trouve une fille facile et vite. C'est la première chose que j'ai fait en arrivant chez Davy's. Et je n'ai pas eu à attendre longtemps, puisque une belle blonde m'a sauter dessus dés mon arrivé. Avec notre petite notoriété dans le bar, il était facile de draguer. Elles nous prenaient toutes pour des rock-stars.
Cela faisait une demi heure que j'étais avec la blonde quand je l'ai vu arriver. Qu'est-ce qu'elle faisait ici ? Ce soir ? Elle ne venait jamais. Alors pourquoi venir quand je voulais l'oublier ?
Je me suis placé de telle sorte que je me retrouve dos à elle, et face au miroir derrière le bar. J'ai pu voir l'instant ou elle a remarqué ma présence. Elle avait l'air aussi choquée que moi de me voir.
Mon entrejambes est vite devenu douloureuse, et ce n'est pas la blonde collée à moi qui en était la cause.
Il m'était presque impossible de me concentrer pendant concert. Et lorsque l'heure de la pause à sonné, j'ai couru dehors pour m'en griller une. Il fallait à tout pris que je me ressaisisse.
En rentrant dans la salle je me suis aperçu qu'elle n'était plus à sa table. Je me suis dirigé vers les toilettes, seul lieu ou elle pouvais être. Deux filles étaient en train de se remaquiller et je leurs est fait signe de déguerpir. Elles sont sorties en me fusillant du regard et j'ai fermé le verrou derrière elles. Seul une cabine était encore occupée. Et je me suis installé dans un coin en attendant qu'elle ne sorte.
C'était bien elle. Elle ne m'avait pas vu, et je me suis empressé de la plaquer contre le mur avant qu'elle ne m'échappe.
-Non, je vous en prie. C'est elle exclamer quand elle c'est retrouvée acculée.
-Chut Charlotte, ce n'est que moi.
Il fallait que je la rassure avant qu'elle ne se mette à hurler. J'ai senti son corps se détendre quand elle a enfin compris que c'était moi.
J'ai lentement fait remonter ma main jusqu'à son sein, j'avais besoin de la toucher. Mon érection collée contre son cul en était la preuve. J'ai empoigné sa poitrine à pleine main. Elle avait des seins à se damner. Rond et ferme à souhait. Elle avait perdu du poids de partout sauf de là. Et j'en remerciait Dieu. J'ai commencé à la pétrir, mon nez collé dans son cou, humant son odeur sucrée et acidulée.
-Nathan, je... je... A t-elle tentée dans un souffle.
Ma main à quitté son sein pour descendre plus au sud, elle c'est frayée un chemin dans son jean pour atteindre sa chaude humidité. Elle était déjà trempée. Mes doigts se sont mis à malmener son clitoris gonflé. Ses chaires se sont refermées sur moi lorsque j'y est inséré deux doigts. Mon pousse continuant de s'occuper de son bouton palpitant.
-La... la porte... Sous souffle était erratique.
-Ne t’inquiète pas, elle est verrouillée.
Son corps commençait à montrer les premiers signes de l'orgasme et ma queue me faisait un mal de chien. Le constat qui c'est imposé à moi m'a alors fait grogner de frustration. Je n'avais pas de capote sur moi. Je voulais jouir, jouir en elle. Et il était hors de question qu'elle jouisse sans moi.
J'ai retiré ma main d'un coup sec, la faisant frémir.
-Que, qu'est-ce que tu fais ? C'est elle plainte.
-Je n'ai pas de capote sur moi, alors voilà ce que l'on va faire. Tu vas sagement retourner t’asseoir à ta table. Rentrer à la maison une fois que la soirée sera fini. Et lorsque j'arriverai je vais te suater jusqu'à ce que tu en perde la raison. Est-ce que c'est bien compris ?
Elle à hoché de la tête sans me regarder. Je suis parti sans plus rien ajouter, les gars devaient m'attendre et il était temps que cette soirée ce finisse, j'avais d'autres projets pour après.
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