Il cumule quand même sacrément les emmerdes, à croire qu’il porte la poisse. Peut être un poil trop « coïncidence » pour moi le téléphone et l’ordinateur ? Je ne sais pas, à toi de voir. Sinon, il y a plein de choses dans ce chapitre. Déjà, on apprend qu’il n’a vraiment appris à connaître son père que quand il a commencé à travailler avec lui, ce qui est hyper triste. On voit encore la pression qu’il met à son fils et le fait qu’il peine à la recevoir et de plus en plus à la gérer. C’est très triste je trouve. Quand au fait qu’il aimerait qu’il l’appelle « papa », je vois une mauvais père c’est clair, mais surtout un père qui ne sait pas comment entrer en relation avec son fils. Il a sans doute était absent dans son enfance (période charnière quand même) et ne sait pas rattraper le coche donc il mise tout sur le travail mais de nouveau, ne s’y prend pas bien. Même s’il lui laisse passer des choses qu’il ne laisserait sans doute à personne d’autres. À mon avis, il ignore juste comment se comporter et se dit qu’en le motivant, à sa manière, il s’en sortira. Je mise tout sur une explication à cœur ouvert au court de l’histoire et peut être une réconciliation ! Et ce serait pas Aubrey qui vient de lui sauver la vie ?