Sandrine Dionne-Gougeon Collège des illusions — L’invité indésiré Désillusion

Désillusion

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10 commentaires

Anthony Dabsal

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Il y a 17 jours

Salut ! Ton début pose bien les bases, on sent tout de suite l’ambiance particulière de ce pensionnat, un mélange de mystère et d’autorité, et ça pique la curiosité. Les personnages sont posés avec leurs différences, et la directrice qui enchaîne les transformations crée un bon effet de surprise. Il y a pas mal de bonnes idées là-dedans, mais tu pourrais renforcer l’immersion avec quelques ajustements pour que le lecteur ressente vraiment l’étrangeté de ce nouvel univers. D’abord, le show don’t tell.

Anthony Dabsal

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Il y a 17 jours

Par exemple, au lieu de dire "l’Académie est un endroit mystérieux" ou que l'héroïne se sent sous le choc, tu pourrais montrer ça à travers ses réactions. Imagine qu’elle pose un pied sur le sol de l’école et ressente une sorte de picotement, comme si la magie se diffusait sous ses pieds. Ou bien, quand la directrice se transforme pour la première fois, l’héroïne pourrait sentir un frisson de surprise qui la traverse, son cœur qui rate un battement, ou même regarder autour d’elle et voir des filles

Anthony Dabsal

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Il y a 17 jours

qui reculent ou échangent des regards sidérés. Ça rendrait le moment plus visuel et engageant. Ensuite, pour le discours de la directrice. Il est clair et pose le contexte, mais il est un peu long et trop direct. Tu pourrais couper un peu les infos sur les anciennes élèves et leurs rôles dans le gouvernement, par exemple, et en glisser un peu plus tard dans l’histoire, au fil des découvertes de la narratrice. Ça garderait un certain mystère. En plus, tu pourrais lui donner un ton plus intrigant,

Anthony Dabsal

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Il y a 17 jours

en la faisant parler de façon plus énigmatique. Par exemple, « Ici, on ne forme pas de simples étudiantes... mais des esprits capables de changer le monde ». Ce genre de phrase un peu vague donne envie d’en savoir plus sans tout dévoiler d’un coup. Sur les réactions émotionnelles, la narratrice et ses camarades pourraient avoir des gestes qui montrent ce qu’elles ressentent sans juste le dire. Comme l’amie avec les nattes qui parait apeurée : si elle tripotait une mèche nerveusement ou serrait les

Anthony Dabsal

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Il y a 17 jours

poings sous la table, on ressentirait mieux son malaise. De même, si l’héroïne se mord la lèvre ou serre les dents quand elle comprend ce que représente le pensionnat, ça aiderait à ressentir son trouble. Enfin, sur les descriptions. Tu as bien posé le décor, mais en rajoutant quelques détails sensoriels. En résumé, il y a de belles idées dans ton texte, et en accentuant les sensations et en dosant les révélations, tu peux rendre l’ambiance encore plus captivante ! Bonne chance pour le concours !

Anthony Dabsal

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Il y a un mois

Alors, c'est dommage que je ne découvre ta plume que maintenant, je n'aurais pas le temps de suivre ton histoire, ma PAL est plus que pleine (et j'ai déjà promis à trop de monde de suivre leurs histoires). Néanmoins tu as du potentiel et j'aime beaucoup l'idée féministe derrière ton texte. Je vais te soutenir en likant tes chapitres (c'est le jeu du concours) et m'abonner à toi pour te suivre sur d'autres concours :-D

Violaine Janeau

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Il y a 2 mois

Bravo pour ce premier chapitre !

Hazel Rose

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Il y a 2 mois

L'univers mystérieux et les personnages introduits, notamment la directrice aux multiples visages, apportent une ambiance intrigante et un peu inquiétante, c'est cool !

Bianka Msria

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Il y a 2 mois

Eh bien,un premier chapitre dynamique et intrigant. En tout cas la spécialité de ton école est très originale.