Quelques coquilles dans ce chapitre, on sent que ça t'a pris aux tripes de l'écrire ! On sent bien la tension menaçante des loubards. Je suis plus surprise que Théo parvienne aussi bien à être désinvolte et ne semble pas se défendre quand on l'attrape. Il aurait pu mettre des coups de coude ? Ou un truc du genre ? Ou c'est juste que Cyk ne le voit pas ? En tout cas Artus a un bon coup de poing - même si la violence, c'est mal niveau moral - c'est bien pratique.

Théo se débat un peu mais physiquement il est grand mais frêle et se voit "comme une fille" donc plus fragile qu'il ne l'est (cliché sexiste). Y a aussi le fait qu'il devient habitué à se faire tabasser pour motif homophobe. Il a des réflexes de poupée de chiffon (quand il sent qu'il n'a pas le dessus, il relâche ses muscles).

Artus arrive à point nommé. La scène est d'autant plus intolérable qu'elle est, malheureusement, tout à fait crédible.

Pire encore, je la trouve assez soft :( J'ai eu l'occasion de me documenter un peu, ça peut se terminer en handicap à vie ou en assassinat.