Très bon concours à toi ! 🤗

Elle a de la chance, la petite Alizée que son journal intime ne tourne pas en boucle sur les réseaux sociaux comme un Mistral sur le mont Ventoux !

Ce chapitre continue à me captiver par le développement de l'obsession de Mathias pour le journal d'Alizée. J'adore la façon dont tu joues avec la tension entre son désir de découvrir ce qui se cache à l'intérieur et sa culpabilité grandissante. Cette lutte interne est vraiment bien décrite et elle est de plus en plus intense à mesure que l'histoire avance. Ça nous permet de ressentir toute la difficulté de Mathias à se contrôler face à cette curiosité presque dévorante. On sent que cette curiosité devient un vrai fardeau pour lui, et je pense que beaucoup de lecteurs peuvent se reconnaître dans cette lutte entre le bien et l’envie de "tout savoir". La manière dont Mathias se fait prendre par le professeur alors qu'il est distrait est aussi très crédible et bien amenée. Cela montre à quel point il est complètement absorbé par ses pensées et son dilemme moral, au point de perdre pied même dans des moments importants comme en cours. Et j'aime bien l’interaction avec Steve, qui, même avec son côté espiègle, semble vouloir aider son ami à rester concentré. Leur dynamique amicale est bien posée, et Steve joue le rôle d'un "ancrage" pour Mathias, ce qui est intéressant à exploiter davantage, car il pourrait être celui qui tente de ramener Mathias vers la réalité. Pour aller un peu plus loin, je pense que tu pourrais accentuer la pression ressentie par Mathias à chaque fois qu’il est tenté d'ouvrir le carnet. Par exemple, tu pourrais jouer plus sur les détails sensoriels pour rendre cette tension encore plus palpable. Peut-être ajouter des détails sur le bruit de la classe qui devient flou autour de lui, la chaleur dans sa poitrine qui monte lorsqu'il décide de sortir le carnet, ou même la sensation des pages sous ses doigts qui le fascine mais le dégoûte à la fois. Cela permettrait de renforcer la tension psychologique de ces moments. En ce qui concerne le contenu du journal d'Alizée, c'est toujours un plaisir de découvrir son monde intérieur. Ses réflexions sur la phobie de perdre des objets sont très humaines et montrent une facette d'elle qui est à la fois vulnérable et vraie. Cela la rend encore plus attachante. Peut-être que Mathias pourrait avoir une réaction plus marquée à la lecture de ces passages, comme se rendre compte qu'elle est bien plus fragile qu’il ne le pensait au début. Ça pourrait amorcer une sorte d'empathie ou d'attachement chez lui, qui dépasserait simplement la curiosité. En tout cas, bravo encore une fois pour ce chapitre ! Il me tarde de voir où tout cela va mener.💫

Super chapitre! On comprend de plus en plus la personnalité de tes personnages, à travers leurs attitudes/ pensées ou à travers le carnet. Je m'attache petit à petit à Mathias que je trouve très drôle et curieux ! Mais aussi à Alyzée (je suis comme elle quand je perd un objet!😅). Les nombreuses comparaisons que tu intègres sont très bien choisies et elles illustrent très bien les événements. C'est un véritable point fort!! Sinon, il y a quelques phrases moins bien tournées (je te les ai précisées en annotations).

Merci beaucoup pour ce retour 🥰!