C'est bien, j'admire ceux qui cherchent à savoir, ceux qui apprécient toujours à apprendre. Il est facile de raconter même remanié, la succession des événements de ce moment mais il est beaucoup moins facile de pénétrer en profondeur en faisant dialoguer les personnes et à faire ressortir leur état d’âme.Je les connais bien et leur manière de raisonner et leur manière de s'exprimer, c'est rigoureux, c'est au dessus du niveau général de ce concours ça, il faut le préciser.Bon courage, continue, je te soutiens.

Oui pour Daladier, tu as raison, comme je l'évoquais dernièrement il a était à la remorque de la Grande Bretagne mais il était également soucieux de l'opinion publique. En France, en majorité on ne voulait plus " Plus jamais ça" enfin tu sais. A son arrivée au Bourget il pensait se faire conspuer mais il a été encensé. Il aurait marmonné "Les cons" Mais c'est bien, je vois que tu t’intéresse bien à l'histoire. Au moins, je me sens moins seul. Bon courage pour la suite Nicolas, je te soutiens.

Merci Jean-Marc :-) Pour info, je bosse sur une petite série de podcasts consacrés à la période.

Savais-tu que le poète saint-John Perse avait accompagné Daladier à Munich? Et qu'il aurait entendu une remarque désobligeante d'Hitler en se faisant traiter de "Négro". Il n'aurais osé le répété pour ne pas gâcher les chances de ce traité. Si Daladier l'aurai su, il est indéniable qu'il aurait quitté aussi sec la salle de réunion.Pour ne plus y remettre les pieds. Daladier en fait état longtemps après dans l'ouvrage "Le fantôme de Munich" Bon moi j'aime, je le lis très volontier.

Je savais qu'il y était et j'ai lu les attaques d'Hitler contre "le petit martiniquais sautillant". Je ne savais pas que le terme était "negro". Daladier a eu très mauvaise conscience avec Munich. Je pense qu'après coup, il a mesuré l'erreur commise. Sur le coup, il était totalement dans la roue des Britanniques.

Tu es sûr ? Mon texte est déjà bien obscur ;-)