« Exister, c’est oser se jeter dans le monde. » a écrit Simone de Beauvoir. Lise ne parvient même pas à se confier à sa mère, celle qui mieux que quiconque pourrait entendre toute sa peine, toute sa rage. Mais finalement, elles se ressemblent un peu toutes les deux. Betty reste active aux yeux des autres mais son cœur de grand-mère et de mère est sans doute à l’arrêt comme celui de Lise. Les deux pourraient soigner celui de l’autre mais la pudeur, ou la gêne les en empêchent…

Un chapitre assez triste qui montre bien comment Lise cloisonne cet aspect de sa vie. Triste mais réaliste je trouve.