J'avais cet horrible sentiment que le monde continuait de tourner sans moi. Que la pluie et le beau temps se battaient toujours entre eux sans m'attendre, que le sang coulait trop vite pour que je n'ai le temps d'en ressentir la douleur, que les jours passaient sans me regretter.
J'avais épuisé mes larmes, ma vie, mon corps, à leur obéir parce que je n'étais pas humaine.
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