Elena Rose Au-delà des larmes Chapitre 5.2 - Connor

Chapitre 5.2 - Connor

Surpris par son audace, mon sang ne fait qu’un tour. Mon excitation est telle que je l’attrape par le poignet pour sortir de l’amphithéâtre et rejoindre les toilettes situées juste à côté. Je ferme la porte à clé, franchit la distance qui me sépare de cette provocatrice et la plaque contre le mur. Ses mains douces caressent l’arrière de mon cou. Des frissons me parcourent au contact de sa peau. Elle ne m’échappera pas. Je plaque mes mains contre ses fesses pour la soulever et lui faire sentir brutalement le gonflement qu’elle a provoqué dans mon jean. Cet assaut lui provoque un gémissement.

—Tu n’as pas fini de gémir. Rappelle-toi que c’est toi qui m’a provoqué, lui murmurai-je à l’oreille.

—Tais-toi et montre-moi de quoi tu es capable.

Cette énième provocation déclenche un nouveau spasme dans mon pantalon. Alors que je tente d’ouvrir à nouveau la bouche, ses lèvres pleines fondent sur les miennes, me réduisant au silence. Je l’installe sur le bord de l'évier situé à ma droite. Ma main passe sous son tee-shirt, entre en contact avec la peau de son ventre ce qui me provoque un nouveau frisson. Elle remonte au niveau d’un de ses seins qui durcit à mon contact. J’envoie valser son haut et m’attaque à ses seins avec ma langue. Je me délecte du goût de sa peau, de sa chaleur, de cette odeur fruitée. Sentir ses tétons se durcir me donne la chair de poule. Une main passe sous sa jupe et se pose sur son intimité humide. Elle est trempée. Mes yeux posés sur elle, putain, elle est belle lorsqu’elle est excitée. Mon doigt glisse de son clitoris gonflé à l’intérieur de son sexe lui arrachant un nouveau gémissement. Son regard brillant me supplie de continuer. Elle peut me faire imploser de l’intérieur à tout moment avec de telles iris. Je déboutonne mon pantalon et le fait glisser le long de mes jambes en ayant pris le soin de chopper le préservatif au fond de ma poche. Après avoir enfiler la capote, je la pénètre brusquement au plus profond d’elle ce qui provoque un cri de plaisir. Mon cœur bat à tout rompre. Mon membre tendu disparait en elle et ressort à une vitesse incontrôlable. Elle sert ses jambes autour de ma taille ce qui me propulse encore plus au fond d’elle. Nos deux corps se frottent l’un contre l’autre.

—Tu me rends dingue, lâché-je entre deux assauts.

—Tais-toi et continue… La voix grave à moitié étouffée par son plaisir.

Ce n’est que mon instinct qui me guide à cet instant et l’entendre gémir de plus en plus fort renforce ma volonté de la prendre encore plus fort. Mes ongles enfoncés dans ses fesses, je suis déchirée par un désir de la prendre de plus en plus fort. Son odeur d’agrume laisse place à une fragrance plus musquée et acide. Ses jambes se mettent à trembler, ses yeux se ferment et sa tête bascule en arrière. Son corps fébrile collé au mien, je la sens jouir autour de mon sexe… Pris de soubresauts, mon liquide séminal se déverse en elle quelques secondes après. Ma tête nichée dans son cou, je relâche mon emprise. De longues secondes s’écoulent, nous restons l’un contre l’autre en silence en tentant de reprendre notre souffle.

—Au fait, je m’appelle Connor, en m’éloignant avec regret de son corps encore chaud.

—Lizzie

—Drôle de façon de faire connaissance.

Je remonte le pantalon et ferme la boucle de ma ceinture.

—Je n’aurai pas à me torturer l’esprit lors de notre premier rendez-vous sur la question de coucher ou non avec toi le premier soir.

Elle enfile sa culotte et remet en place sa jupe.

—Qu’est ce qui te fait penser qu’il y aura un rendez-vous ? Je l’interroge.

—Tu es étudiant en médecine donc tu es le mieux placer pour savoir qu’elle sacrifice je suis obligée de faire pour réussir mes études et décrocher les meilleurs internats. Je te propose de se voir de temps en temps, de coucher ensemble pour assouvir nos besoins sexuels. On conserve notre liberté pour pouvoir étudier sans avoir un partenaire qui nous étouffe, deal ?

Je manque de m'étouffer. Wow, cette fille est dingue.

— Deal! lui accordai je, les yeux écarquillés.

Quelle audace !

Alors qu'elle quitte la pièce, son parfum agit comme une caresse vive et pétillante, une odeur de mandarine fraîche et laisse une trace légère et enivrante dans l’air.

Lizzie a du caractère et… Lizzie me plait déjà beaucoup.

Je suis dans la merde.

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2 commentaires

illusiona

-

Il y a 13 jours

coucou passage de ma part pour t'aider :)

Andrée Martin

-

Il y a 21 jours

😊
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