MissN2 Arnisia Prologue

Prologue

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8

8

8 commentaires

MissN2

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Il y a 7 ans

Ok

Jeanne F.

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Il y a 7 ans

Je suis ton binôme ce WE, je lis et te fais une analyse à la fin.

France_L

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Il y a 7 ans

Je n'ai pas fini, la suite arrive

France_L

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Il y a 7 ans

Il faut que tu penses à ce que toi ou une personne que tu connais dirais. - Le moi est toujours en dernier : Doyle, Ana, les parents et moi avons dû.... - toutes* les nuits, - Il y a une chose que je comprends pas : tu dis qu'Ana sait qu'à cause de ses cauchemars, Marie ne dort plus. Mais quelques lignes plus loin Ana demande si Marie a toujours ses terreurs nocturnes. Il y a un bug dans le pâté je pense ^^ - Il y a toujours un espace entre le mot et le point d'exclamation ou d'interrogation : d'accord !, Tu le penses vraiment ?.... - Evite de mettre toujours mettre des verbes de dialogue ou de parole : à force, on va se perde. - N'hésite pas à rajouter des descriptifs sur les lieux, les personnages, leur façon de se tenir, d'agir. Parfois il n'y a besoin de parler pour comprendre leurs pensées et savoir qu'elles sont tristes. Regarde, je vais te montrer : "- Non c'est personnel ! Ana et Amy se jetèrent un coup d'œil avant d'examiner le sol, la tête baissée. Leur épaule s'affaissèrent d'un coup et je sus, en une seconde, que je les avais blessées et déçues. Je le mordillais la lèvre, incapable de leur dire quoi que ce soit. Mes cauchemars étaient biens trop horribles, bien trop réels pour que je puisse les mettre en évidence à n'importe quoi, même à ma famille. Surtout à ma famille. Je ne voulais pas qu'elle s'inquiète plus qu'elle ne l'était déjà." Tu vois ?

France_L

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Il y a 7 ans

- Autre chose : Marie et le "je" sont une seule et même personne ? Parce que si c'est le cas, il faut choisir l'un ou l'autre mais pas les deux, après c'est à ni rien comprendre - Il y a toujours une , avant le mais, je sortis* (sortie dans le sens où tu l'as écrit, c'est une sortie), - On fait tous l'erreur les premières fois, mais ne nous dit pas ce qu'elle fait ou comment elle sent, mais raconte-le nous (je parle ici de sa grande fatigue) - Je vais faire une grande parenthèse sur le flash-back : je n'ai rien compris ! Absolument rien. Tu fais des phrases trop longues alors que dans ce type de récit il faut accentuer sur la peur, le suspense et donc privilégier les phrases courtes. C'est beaucoup plus agréable à lire, plus fluide. Ex (je fonctionne beaucoup avec des exemples) : Je me retrouve dans une ruelle sombre et humide. Tout autours, des cadavres. Un sentiment étrange et pressant me prend aux tripes et m'oblige partir au plus vite. Je vais finir comme eux si je reste. Le paysage défile tandis que je cours savoir où je vais. Il faut juste que je cours, sans m'arrêter. Sans jamais m'arrêter. Tout se floute à nouveau, je me sens partir, soulever du sol pour être reposer quelques secondes plus tard, au milieu d'un château à en croire les statues de chevaliers qui trônent çà et là dans le couloir. Je tourne sur moi-même, espérant que ce ne soit qu'un rêve....

France_L

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Il y a 7 ans

mais un rire tonitruant résonne dans la demeure froide et austère, me donnant la chair de poule. Je me remets à courir dans le dédale que forme les couloirs. J'arrive dans la pièce principale blanche, qui me paraît si sombre que l'envie de fuir me dévore les jambes, avec, en son centre, un trône. Je me stoppe en remarquant l'individu qui siège dessus et réprime un mouvement de recul. D'ici, j'arrive à voir ses lèvres bougent, sans pour autant comprendre ce qu'il me dit. Que dois-je faire ? Un coup d'œil derrière moi m'informe que je n'ai plus de sortie de secours : la porte s'est fermée. Je reporte mon attention sur l'étranger qui me sourit. Tout devient sombre et je tombe dans le vide. Je hurle de terreur. Tu vois ce que je veux dire ? Tu connais les réactions de tes personnages, nous non. Alors avec, amuses-toi ^^ Personne ne réagit de la même manière car tout le monde est différent. ----- Récapitulatif : Essaye de mettre davantage de description des lieux, des gestes et des mimiques de tes personnages. Je me suis perdue entre les différents personnages que tu as incorporé dans ce premier chapitre. Il n'y aura que peu de points positifs et non pas parce que l'histoire n'est pas bien ou autre, mais tout simplement parce que j'arrive à voir tous les points à améliorer et non l'inverse. Ton histoire a du potentiel, beaucoup de potentiel ! Il faut juste que tu poses les bases

France_L

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Il y a 7 ans

et que tu approfondisses les relations entre tes personnages. Fais attention aux fautes, il y a pas mal de correcteurs en ligne et gratuit, pour ma part j'utilise beaucoup scribens qui donne la règle générale avec ses corrections ^^ J'ai fini pour ce chapitre, je ne sais pas si je le ferai pour les autres. Je pense que je t'ai donné toutes les pistes à suivre pour que tu puisses t'améliorer et ne t'inquiète pas, on s'améliore rapidement ^^

France_L

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Il y a 7 ans

Holà ! Je suis ton binôme pour weekend :) alors je vais commencer par les points à améliorer puis je vais continuer avec les points positifs :) Points à améliorer : - Le verbe de dialogue ou de parole ne prend jamais de majuscule (dire, répliquer, affirmer, penser....) et il n'y a jamais de point entre le dernier mot et le verbe de dialogue ou de parole d'une phrase : - Je ne crois pas, répliqua Amy.... (c'est la même chose derrière un point d'exclamation ou d'interrogation : - Es-tu folle ? aboya Amy sous le choque. - Fiche-moi la paix ! siffla Marie sous la colère) - Au passé, les verbes de dialogue ou de parole à la personne prennent la même terminaison que d'habitude : répliquais-je, pensais-je, priais-je, voulais-je... ; alors qu'au présent ils se terminent ainsi : répliqué-je, pensé-je, prié-je, je veux.... - Tes phrases dans les dialogues sont trop longues. Est-ce que tu veux dire : Désolée Ana, mais depuis que mes cauchemars ont commencé je suis devenue insomniaque, tu le sais bien. J'arrive à peine à fermer les yeux, répliquais-je (je t'ai corrigé en même temps ^^) -> pour moi c'est beaucoup trop long, je veux dire jamais je penserai à dire un chose pareille, à la place j'irai au plus cout : Enfin Ana, tu sais bien que c'est la faute aux cauchemars ! Je n'arrive plus à fermer un œil depuis (nombre de jours qu'elle n'a pas fermé les yeux), répliquais-je butée.