Fyctia

11h00

J’avais pris ma douche, je mettais habiller d’un jean bleu et d’un débardeur noir.

J’ouvris la porte de la chambre et je m’aventurai dans le couloir, j’aperçu les escaliers je l’ai descendit. Dans cette pièce qui servait de salon se trouver une femme assise sur l’accoudoir du canapé elle était sur son téléphone ; un homme qui parlait avec l’homme qui ma kidnappé.

Je descendis les dernières marches, que tout le monde se retourna, l’homme avait le regard froid sur moi comme s’il était prêt à me tuer.

La femme venue vers moi avec un sourire et dit « tu es super belle mon frère a du gout pour un fois, je m’appelle Luna je suis la grande sœur de ce grand loup » elle me montré l’homme avec ce regard.

Donc cette sœur avec cette belle aura et ce grand sourire est sa sœur sans blague, en dirais pas elle est tout l’opposé de lui en dirais.

« Son prénom c’est Sergio, il peut paraitre froid mais il a bon cœur » me dit-elle en chu-chotant. « Et lui c’est Luca notre petit frère » en le montrant du doigt

« Baisse ton doigt sœurette si tu ne veux pas que je te le fasse bouffer dans des lasagnes » dit Luca

« C’est bon psychopathe tu va faire peur a …. Comment tu t’appelle je suis impolie je ne t’ai même pas demandé »me dit -elle en se retournant vers moi

« Je m’appelle Georgina »

« Enchantée Georgina » ;« donc je te disais mon frère tu vas faire peur à Georgina »

« Tu parles trop Luna va plutôt rentrer chez toi » dit soudain Sergio

Je vois Luna ouvrit la porte et partir suivis de Luca, je me retrouve seule avec ce psycho-pathe.

Je ne suis pas en confiance du tout, il s’approche de moi et met sa main sur mon cou et sert fort, je suffoque.

« Tu te penses que tu vas passer de jolies vacances en ma compagnie, tu rêve petit ange alors maintenant je vais te dire pourquoi tu es ici »

Toujours avec les mains serrant mon cou, il me jeta sur le canapé, il était maintenant avec un genou entre mes jambes et une main toujours sur mon cou.

Moi impuissante et faible à la suite du malaise, mon cerveau ne suivait pas mon corps.

J’étais comme une poupée qu’on manipuler à sa guise

« Tu vas rester jusqu’à je retrouve ton frère le bavard qui m’a volé de la marchandise, tu ne pourras pas t’enfuir et je vais te faire vivre un vrai cauchemar car tu vas payer pour ton frère » dit-il froidement en me touchant les hanches.

A cet instant je me dégouter d’être aussi faible, comment connaissait-il mon frère moi-même je ne l’avais pas vu depuis 3 mois.

Que lui voulait-il ce type, mon frère ne baigner jamais dans des affaires bizarres

« Je ne sais pas où est mon frère, la dernière fois que je l’ai vu c’était il y a trois mois après plus de signe de vie, je ne sais pas à quoi je vais vous servir mais ma famille doit s’inquiéter à l’heure actuelle, comment connaissait vous ma famille je ne comprends rien la » lui dis je ne versant des larmes et en criant de rage car il me toucher mon corps avec ces mains de pervers.

"Tiens tiens tu n’as pas de nouvelles de ce bâtard intéressant, tu mens encore Georgina que va devenir ta mère après avoir eu une balle entre les deux yeux"

« Je ne mens pas c'est la vérité, s'il vous plaît faite pas de mal a ma mère"

« Tu ne pleures beaucoup pour rien c'est agaçant hum dit moi mon ange a quoi va tu me servirai pendant ce temps-là, peut être devenir ma fiancé"

Là je le regarde incrédule, fiancée moi avec un homme que je ne connais pas, mon kidnap-peur c'est une blague.

Il est là avec son sourire de pervers au coin prêt à bondir sur sa proie. Ce genre d'homme devrait disparaître de la terre.

Moi je pleure je ne sais pas quoi dire tellement toutes les émotions me submerge.

"Devenir votre fiancée pour quoi faire vous avez des milliers de femmes a vos pieds je suis sûr, les femmes ne sont pas des jouets Sergio" je lui sort ces mots en ayant le peu de courage qu'il me reste.

"Doucement mon ange déjà au prénom on a sauté des étapes, tu es courageuse pour le-ver le ton sur moi, tu sais je suis qui au moins"

"Non"

"Je suis Sergio Rossi chef de la mafia du bas de l'Italie, alors évite de jouer a la maligne avec moi car quoi que tu fasses de mal tu le payeras et si tu t’enfuies je me ferais un ma-lin plaisir de ramener à ta mère ton corps criblée de balle "dit-il en élevant la voix.

Un chef de la mafia mon dieu dans quoi je me suis mise comme merde.

Mon frère que faisait-il avec eux comme affaires.

A ce moment je crains vraiment pour ma vie, la vie de la famille, je pense à Mina ou se trouve t'elle en ce moment même.

Je suis tiré de mes pensées par une main qui tira mes cheveux, cet homme me regarder un regard haineux, il me lâcha et me tendit une enveloppe.

L’enveloppe contenait des photos de Mina saine et sauve avec le sourire à côté se trouver un homme plus jeune que mon kidnappeur, Mina ne m’avais jamais parler de ça. Je relevais la tête vers le mafieux et il me dit ;

« Ta meilleure amie se porte bien, elle est en compagnie de mon ennemie cela va être difficile pour toi celle de la sauvée tu as besoin de mon aide, tu vois c’est donnant don-nant »

« Je vous dit les infos sur mon frère et je vous aide à le retrouver et en échange-vous m’aider à la récupérer »

Il s’approche de moi encore plus et touche mes lèvres ; j’essaie de le pousser mais je suis impuissante

« Nonn, tu as tout faux mon ange, toi tu vas être ma fiancée et ensuite ma femme, c’est ça ton donnant et ton frère viendras de lui-même »

« Avec vous mais c’est la mort assurée, j’ai une famille, des amies, je n’en ai rien à foutre de votre vengeance, mon frère n’est pas assez con pour venir » dis-je en hurlant de rage que je retenais en moi depuis tout à l’heure

« J’adore quand tu t’énerve ont va bien s’amuser et bienvenue en Italie » dit-il en rigo-lant.

Comment ça j’étais en Italie ? ce mafieux m’avait emmené sur son territoire et moi j’étais loin de tout dans un pays que je ne connaissais pas.

Voilà pourquoi son accent anglais était bizarre il était italien, j’étais chez un homme dange-reux sans aide de personne.

Il claqua la porte du salon et j’entendis qu’il montait les escaliers, j’étais seule dans le salon j’analysais le décor tout était sombre des meubles, aux sols. Comment j’allais sortir d’ici cette maison était une forteresse il y avait des gardes partout dehors.

Je vais devoir attendre que mon frère vienne me sauver, rien que dit penser a ce qui va peut-être m’arrivais je fondis en larme sur le canapé et je m’endormis épuiser de tout ça.