Il est un peu reac… être hetero cisgenre c’est descriptif et factuel. C’est comme dire « j’aime les blonds ». Ça ne le dérange pas de mettre les femmes dans des cases, lui. Pimbêche, vieille, moche, grosse… il passe toutes les femmes au fil de son tranchoir à jambon, les découpant en rondelles qu’il décortique et juge sévèrement (et préjuge aussi ; il avait décidé que la gérante de la boutique à la violette était une mégère avant même de la rencontrer) ; et ensuite il a le culot de demander l’air innocent « mais qu’est ce qu’elles ont toutes à se préoccuper de leur apparence, ces femmes futiles ?! ». Pile je gagne, face tu perds.

Coucou, ce chapitre est très drôle avec le fossé des générations et les rdv sur les sites de rencontres qui sont souvent source de surprises. J'aime beaucoup comment tu as amené cette différence de génération. C'est aussi l'arroseur arrosé avec Nathan qui se sert de sa mère comme excuse, qui n'a pas un jour entendu ou servi ce genre d'excuse, et ça lui revient en boomerang. C'est très bien trouvé. Sans le savoir, il a le même goût que Coralie pour le thé citron. Chaque détail est pensé dans ton histoire et a son importance. Tu as une écriture ciselée. Et tu mets toujours à l'honneur la violette.

Merci, Iris, pour ton appréciation détaillée. Et ça me touche... 🤗💜💜💜💖 (d'autant plus que j'ai surtout tendance à voir ce qui ne va pas, dans ma romance 😅... ).

Voilà... sauf qu'avec Coralie, il va s'attacher plus que ce qu'il a prévu au départ... 😉😁💞

Effectivement... à la relecture, ça fait bizarre... 🤔🙄😅 Je rectifierai !!