Barks All i want for Christmas, c'est un dépucelage en règle Chapitre 3

Chapitre 3

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34

34 commentaires

Lucie_lolita_auteure

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Il y a 2 ans

Petit coup de pouce ;) :)

CTrebert

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Il y a 2 ans

J'espère que ça ne va pas s'arrêter là!

Célia Blomgren

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Il y a 2 ans

hello double coup de pouce pour t’aider à avancer en attendant d'avoir du temps pour te lire (probablement après le concours) ! n’hésite pas à venir me donner ton avis sur mon roman si tu en as le temps, sinon j’apprécierai beaucoup que tu likes chaque chapitre, ça peut beaucoup m’aider ! belle continuation, je continuerai à passer sur tes chapitres pour t’aider :)

Timinet

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Il y a 2 ans

Très cher Barks, #catharsis #frustration Certes, je suis généralement plutôt dépêchée à la cuisine et au balai qu’à l’ouverture des huîtres à Noël - sans doute ma condition de quarantenaire de sexe féminin n’y est-elle pas pour rien, mais est-ce le moment de questionner les structures patriarcales ? - Ceci étant, et en dépit de mon inexpérience à écailler du mollusque, noël approchant, je m’identifie de tout coeur à la pulsion automutilatrice du narrateur du premier chapitre. Après tout, qui n’a jamais été saisi par l’envie déchirante qu’enfin « quelque chose de vrai » émerge pendant une fête de famille ? Voire même, quel être sensible n’a pas été chatouillé par l’envie teintée d’angoisse d’être l’instrument du chaos ? (Envie de revoir Festen). Les conditions sont réunies chaque année. Unité de temps, de lieu et d’action. Produit d’une famille marane davantage soucieuse de son appartenance à une élite intellectuelle que de son appartenance à la bourgeoisie, mais respectueuse des conventions et dotée d’une volonté d’intégration non négligeable, j’ai l’opportunité de fêter Noël chaque année. Sur fond d’abus sexuels et de violences tus, dans ce déni camouflé sous vernis psychanalytique, j’aurais le potentiel adéquat pour un bel esclandre. Pourtant quel gâchis… dans la pratique, loyauté filiale et conscience de mère aidant, je me contente, les années où je ne suis pas internée, de me saouler gentiment et de baiser autant que possible… Je ne crie pas, je ne me tranche pas le doigt, tout juste si je pleure un peu et encore. Si j’avoue une certaine habitude des fumoirs d’hôpitaux, notamment psychiatriques, mon plus bel exploit de Noël reste une carafe d’eau vidée sur ma cousine. C’est peu. C’est sans doute cette experience directe de fantasmes et de frustrations me donne tant plaisir à lire ton conte de Noël . Finalement, je préfère quand c’est toi qui raconte (ne serait-ce que parce qu’on peut fermer le livre ou l’onglet). Donc, je te préviens clairement : si tu ne nous poste pas la suite, je te cherche, je te retrouve et c’est pas des huîtres avec la coquille que je te fais bouffer…

John Doe

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Il y a 2 ans

cher monsieur barks, ne voyez-vous pas le manque dans lequel nous sommes (vous permettez que je vous vouvoie ?) ? Cela fait désormais au moins 72h que nous n'avons plus de nouvelles de vos héros. Et 72h, c'est long dans un hôpital. Et comment va le chien ? Vous comprenez, c'est important ici d'alimenter les lecteurs, sinon ils zappent, ils passent à des choses moins déjantées mais plus régulières. En plus, je note que vous n'avez pas fait de fautes d'orthographe dans ce chapitre. Quel est votre secret ?

clecle

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Il y a 2 ans

J'adore comment tu décris tous ces patients, c'est un hôpital psychiatrique ? Ce médecin semble voir des voies ferrées un peu partout mais il a de bonnes intuitions. Les gens trop lucides finissent mal en général - c'était la pensée pessimiste du jour. Bravo pour ce début d'histoire en tout cas. On dirait un paquet avec des bonbons qui piquent. C'est chouette.

Sand Canavaggia

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Il y a 2 ans

Rhô le chapitre noir limite sordide, on en pleurerait presque à la fin si l’humour déjanté ne se faufilait pas partout dans tes lignes et cet hosto, une rencontre et une bouteille de champagne on n’en venait pas à deux lignes et le constat assez clair depuis le début qu’il est puceau. Dans ce chapitre, le narrateur a changé et ça donne une autre vue de la scène et franchement tu as encore super bien renvoyé le climat en parodie, j’adore toujours autant ta plume. Merci de ce nouveau partage. J'attends le prochain chapitre, bonne suite à toi😊✨

Barks

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Il y a 2 ans

Merci de n'avoir pas immédiatement fui au changement de perspective. Le prochain chapitre ne devrait vraiment pas tarder, juste quelques ajustements à effectuer avec mon alter ego maléfique...

John Doe

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Il y a 2 ans

Sacré Johnny Bigoud. Bon, on commence à avoir assez de protagonistes pour une bonne petite partouze. Et il est passé où le chien ?

jeanmariepejat

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Il y a 2 ans

Lui donne pas trop d'idées chelou, il a l'air capable de tout.