comme Arno je suis de plus en plus emballée par ce récit, toutes ces correspondances avec le cauchemar numérique et dans ce chapitre, le cauchemar social... je relirai attentivement quand l'histoire sera terminée ; l'angoisse de ne pas réintégrer le corps étant à elle seule un ressort terrible !

Je suis de plus en plus emballé par ton imagination et la richesse de l'univers que tu parviens à exposer, sur un format aussi court. Même si, en réalité, ce chapitre fait un peu du surplace, il est particulièrement bien écrit et nous immerge un peu plus dans ton imaginaire débridé.

L'écriture avec contraintes (thème imposé, deadline courte, nombre de signes et de chapitres...) n'est pas un exercice évident, et l'idéal pour s'en sortir, à mon sens, est de bien préparer ses idées en amont. Pour ma part, une fois le sujet choisi, je réfléchis à son développement, en fait un découpage rapide, et note les temps forts et les informations cruciales. C'est un peu de temps qui peut t'en faire gagner beaucoup à l'écriture, en tout cas chez moi ça marche ;) Et si cela peut te rassurer, le côté improvisé de ton histoire ne se fait pas du tout sentir à la lecture. Je pense par contre que la richesse de ton univers serait mieux mise en valeur sur un format plus long, ce que tu pourras faire sur Fyctia si le coeur t'en dit ;)

traîné

@djinn ne vaut pas mieux qu'un vieux TomTom, en fait :)))

Super passage, très inspiré !

s'élancer

au près serré. Jolie expression maritime, trop rarement employée.